vendredi 10 novembre 2017

Robert Putnam: diversity and negative externalities

http://theweek.com/articles/732634/altrights-favorite-academic

AI a review

https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2017/09/17018-intelligence-artificielle-place-aura-demain-letre-humain/

jeudi 9 novembre 2017

Finally US bonds will come back as investments

http://bfmbusiness.bfmtv.com/monde/donald-trump-et-xi-jinping-devoilent-des-accords-commerciaux-pour-des-montants-vertigineux-1298979.html

250 billions US doll
What a trip of DT in China!

Exercise and health


Activité physique adaptée et nouvelle loi de santé

P. ATTALI, CHR de Strasbourg

Congrès Cœur, exercice et prévention
La prescription d’une activité physique adaptée s’intègre dans la nouvelle loi santé. Les trois grandes orientations de la stratégie nationale de santé sont de miser sur la prévention, d’organiser les soins autour des usagers et d’en garantir l’égal accès, et de renforcer l’information et les droits des patients. Selon l’OMS, la pratique régulière de la marche ou du vélo, à raison de 30 minutes par jour réduirait de 30 à 50 % l’incidence des maladies cardiovasculaires. Les évaluations faites en 2014 à Strasbourg et les travaux de la HAS en 2015 encouragent à la prescription d'une activité physique adaptée. 

Au cours de la dernière décennie, trois lois avaient précisé le périmètre et les modes de gouvernance de la politique de santé :
- la loi du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, a inscrit la participation des usagers à la gouvernance des politiques de santé ;
- la loi du 9 août 2004, relative à la politique de santé publique comprenait, dans une annexe, une liste de 100 objectifs sanitaires, associés à des indicateurs quantifiés ;
- la loi du 21 juillet 2009, portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, a défini la gouvernance régionale de santé en rassemblant au sein d’une seule agence la prévention, le soin et le médico-social.
Cette loi est d’ores et déjà intégrée dans le code de la santé publique. La protection des personnes en matière de santé y figure dans un titre comme suit « Prévention des facteurs de risque et promotion de l’activité physique ». Mais elle concerne seulement certains patients : « Dans le cadre du parcours de soins des patients atteints d’une affection de longue durée, le médecin traitant peut prescrire une activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient ». Les activités physiques sont dispensées dans les conditions prévues par décret.
Ainsi, le bénéficiaire de cet article sera le patient atteint d’une ALD, par exemple pour affection cardiovasculaire, affection neurologique, affection néphrologique ou encore affection cancéreuse.
Cet article pose quand même plusieurs questions qui seront peut-être réglées par les décrets ou une recommandation qui en permettront l’application. Le médecin traitant est celui qui est déclaré comme tel, et donc d’autres médecins n’auraient pas droit de faire cette prescription. Le fait qu’elle doit être adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical explique que toutes ces conditions sont susceptibles de responsabilité : civile, professionnelle, administrative si on travaille en secteur public, éventuellement responsabilité disciplinaire, voire pénale.
Le texte d’application, prévu pour juillet 2016, permettra de clarifier quels seront les professionnels qui prescriront l’activité physique adaptée et ceux qui la mettront en oeuvre. Il précisera également s’il faut considérer cette prescription d’activité physique adaptée comme une thérapeutique, un acte de soins ou un acte médical, ce qui va entraîner des régimes juridiques différents.
Les freins à la pratique de l’activité physique des patients sont nombreux. Si l’on prend l’exemple des patients atteints de diabète de type 2, ils peuvent être physiques, comme l’obésité ou des comorbidités, mais le frein principal provient en fait de l’attitude du médecin vis-à-vis de l’activité physique adaptée. Car, souvent celui-ci n’aura pas envisagé de réadaptation physique pour son patient, voire ne lui en aura pas parlé ou ne l’aura pas rassuré sur la compatibilité de son état de santé avec cette pratique. En effet, le patient pourrait craindre la survenue, au cours des efforts physiques, d’une hypoglycémie, d’une poussée hypertensive, d’une aggravation de sa pathologie cardiaque éventuelle ou de problèmes avec ses médicaments.
Pour encourager et rassurer son patient dans cette démarche, le médecin devra lui expliquer que cette thérapeutique est prouvée comme étant efficace et concrétiser ce bénéfice potentiel en inscrivant l’activité physique sur une ordonnance.
Plusieurs formulations de cette prescription sont envisageables, comme par exemple : « activité physique au cours de 5 séances par semaine d’au moins 30 minutes ». Et s’il n’a pas le temps d’aller plus loin, il adressera son patient à un professionnel de l’activité physique. Celui-ci saura évaluer les goûts du patient, son histoire par rapport à l’activité physique et sportive, estimer ses capacités physiques, entre autres son endurance et sa souplesse. Ainsi, si le patient est complètement déconditionné et qu’il est essoufflé dès qu’il monte un escalier, il ne pourra pas lui être demandé de faire 30 minutes de marche rapide en une fois. Les lieux de réadaptation ne sont pas, pour l’instant, labellisés, mais ils ont déjà fait l’objet de chartes attestant que des professionnels de l’activité physique adaptée, spécifiquement formés, sont présents.
Ces professionnels peuvent être certains kinésithérapeutes, infirmiers ou éducateurs sportifs (STAPS) spécifiquement formés, c’est-à-dire qui doivent être au fait de la dimension « parcours de soins » et de ce que recouvre la notion de « pathologie chronique ».
Plusieurs groupes de travail à l’initiative des pouvoirs publics, dont la HAS, sont déjà constitués afin de clarifier, entre autres points, quels seront les professionnels de santé impliqués et comment aider les médecins traitants à prescrire cette activité physique.
D’après une table ronde Pierre Fabre, lors du 9e Forum européen Coeur, exercice & prévention, Paris, 17-18 mars 2016
Sous la direction de A. Ducardonnet (Paris), avec la participation de F. Claudot (Nancy), M. Duclos (Clermont-Ferrand) et D. Marcadet (Paris)

Le bougisme est l'antithèse du mouvement et de la prévention par l'exercice: l'état sacrifie le fond pour une forme dictée par les pubs

http://www.santepubliquefrance.fr/Actualites/Bouger-plus-une-necessite-pour-les-Francais

http://invs.santepubliquefrance.fr/Publications-et-outils/Rapports-et-syntheses/Environnement-et-sante/2017/Etude-de-sante-sur-l-environnement-la-biosurveillance-l-activite-physique-et-la-nutrition-Esteban-2014-2016-Chapitre-Activite-physique-et-sedentarite

Androgenic alopecia: the major cause of baldness in both sexes

10.1007/s00266-017-1004-y

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29101437


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3681120/





Autologous PRP is a treatment with apparently very good B/R ratio...



Stop using your pillow,

https://nutritiousmovement.com/your-pillow-is-an-orthotic/


I did it for about 30-40 years...

https://nutritiousmovement.com/product/from-the-shoulders-up-dvd/

Top customer reviews

on June 13, 2012
Format: DVD|Verified Purchase
I suffer from thoracic outlet syndrome, a tight neck and TMJD. Probably all related to each other. Consequently, I already have a stack of books and DVDs on the subjects of therapeutic stretching, PT, posture, etc. Despite this, I found a new useful stretch on this DVD as well as a variation on a stretch I already knew. The variation is more comfortable for my body, while still being an effective stretch. The rest of the material was review for me, but having said that, I can vouch for its validity. And a little review never hurts. :-)

My symptoms have already improved from prior materials and PT by over 80%. But since that's less than 100%, I continue to search and explore. I'm glad I found this video for the reasons above.

If you have problems with your upper back, shoulders, neck or head, I highly recommend that you include this in your recovery and maintenance program. And if you work at a desk for long periods of time, I also recommend that you get this before little problems become big problems.

I also recommend 3 Minutes to a Pain-Free Life which nicely complements this video. The title is overhyped, but the advice and benefits are universal, similar to this video. We all have to live in our bodies and they affect our cognition and emotions more than many people appreciate.

Well if you're here, you're having problems too. Good luck with your recovery!

Sleeping on a hard surface: preliminary study on me

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1119282/


"Largely anecdotal evidence has been collected by “old timers” for over 50 years from non-Western societies that low back pain and joint stiffness is markedly reduced by adopting natural sleeping and resting postures. This observation must be recorded to allow further research in this direction as these primitive societies no longer exist and the great apes living in the wild are heading for extinction. All we have to do is to be good primates and use these preventive techniques."


"Des preuves anecdotiques ont été recueillies par des" anciens "depuis plus de 50 ans de sociétés non-occidentales, montrant que la lombalgie et la raideur articulaire sont nettement réduites en adoptant des postures naturelles de sommeil et de repos. direction puisque ces sociétés primitives n'existent plus et que les grands singes vivant dans la nature sont en voie de disparition, il suffit d'être de bons primates et d'utiliser ces techniques préventives."


https://www.haikudesigns.com/japanese-shiki-futons-and-sleeping-mats.htm?p=1802

mercredi 8 novembre 2017

The Concorde report about french healthcare

Some preliminary thoughts...

1/ There is a myth which is terrible to fight: there is no continuous progress. History is as chaotic as possible and innovation too. The recent history of medical innovation is the perfect illustration of this factual assertion.
2/ As all services in a market economy healthcare follow supply and demand except that subsidies increase demand. This increase depends on the ratio subsidy/premium and subsidy base.
3/ The business of an insurer is to use reimbursement wisely. The aim of a state-managed social security system is to reimburse maximally even with using public debt.
4/ The fallacy of the word "healthcare professional" is obvious: indeed in term of cost and quality of care, we have to look first to prescribers.

Quelques pensées préliminaires ...


1 / Il y a un mythe qui est terrible à combattre: il n'y a pas de progrès continu. L'histoire est aussi chaotique que possible et l'innovation aussi. L'histoire récente de l'innovation médicale illustre parfaitement cette affirmation factuelle.
2 / Comme tous les services dans une économie de marché, les soins de santé suivent l'offre et la demande, sauf que les subventions augmentent la demande. Cette augmentation dépend du ratio subvention / prime et base de subvention.
3 / L'activité d'un assureur consiste à utiliser le remboursement à bon escient. Le but d'un système de sécurité sociale géré par l'État est de rembourser au maximum même en utilisant la dette publique.
4 / L'erreur du mot «professionnel de la santé» est évidente: en effet, en terme de coût et de qualité des soins, il faut d'abord se tourner vers les prescripteurs.


Back to the report.


The first point is about the first subtitle: should health expenses should be reduced? The answer is: the question is very badly formulated. What reduction? Reduction of prices? Of tariffs? Of the cost of goods and services? Of demand? Of public, private expenses?
We are pleased to hear that the report was written by a group of experts including health economists and they have prudently chosen to remain anonymous. Indeed the subject is illness and care but not health. In this setting, expenses must be appropriate and strictly linked to illness and care. this is a major consideration as the French healthcare system is characterized by a great amount of cash reimbursement which is not linked to illness and care. I mean "indemnités journalières", "medical " transports and "cures thermales" without forgetting to mention the nebulous budget item: "other medical goods and services".


Retour au rapport



Le premier point concerne le premier sous-titre: les dépenses de santé devraient-elles être réduites? La réponse est: la question est très mal formulée. Quelle réduction? Réduction des prix? Des tarifs? Du coût des biens et services? De la demande? De dépenses publiques et privées?
Nous sommes heureux d'apprendre que le rapport a été rédigé par un groupe d'experts comprenant des économistes de la santé et qu'ils ont prudemment choisi de rester anonymes. En effet, le sujet est la maladie et les soins, mais pas la santé. Dans ce contexte, les dépenses doivent être appropriées et strictement liées à la maladie et aux soins. C'est une considération majeure car le système de santé français est caractérisé par une grande quantité de remboursement en espèces qui n'est pas liée à la maladie et aux soins. Je veux parler des indemnités journalistiques, des transports "médicaux" et des "cures thermales" sans oublier de mentionner le poste budgétaire nébuleux: "autres biens et services médicaux".

Sex gender and biology

https://www.psychologytoday.com/articles/201711/sculpted-evolution
 
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